Par Walner OLIVIER
Noulie TRANQUILLE, sacrée lauréate de la 4ème édition du concours de textes et de reportages de l’Office de la Protection du Citoyen portant sur les Droits Humains, de la catégorie C (Écoliers. ères), est nommée ambassadrice des Droits Humains dans le département du Sud-Est par ladite institution. La cérémonie de son couronnement a eu lieu le jeudi 10 décembre 2020, au local de la direction de l’ OPC du Sud-Est, date la célébration de la journée des droits humains.
Aujourd’hui, c’est une grande fierté et un immense honneur, d’être l’ambassadrice des Droits Humains pour l’Office de la Protection du citoyen dans le département du Sud-Est, a déclaré, avec enthousiasme, Noulie Tranquille, élève de l’institution du Bon Pasteur de Jacmel. Plus loin, la lauréate se dit prête à se lancer dans la lutte pour le respect des Droits Humains dans le Sud-Est. Elle s’engage à sensibiliser des enfants de son département sur cette question majeure au sein la société haïtienne.
La direction de l’OPC dans le Sud-Est en a profité pour féliciter la jeune écolière d’avoir consenti de grands sacrifices, durant cette année académique marquée par des turbulences politiques et la crise sanitaire, pour prendre part à ce concours national. « En dépit de tout, Mlle Tranquille s’est mis à réfléchir et proposer des choses sur les droits humains. »
« La direction départementale de l’OPC, après la cérémonie nationale de remise des primes du 08 décembre 2020, est fière de marquer la 72ème anniversaire de la Déclaration Internationale des Droits Humains en honorant Tranquille Noulie élève de l’Institut du Bon Pasteur, lauréate de la catégorie C pour les écolier.e.s », a déclaré le directeur de l’OPC Sud-Est, Samuel François. « Les jeunes de Jacmel sont fiers de toi et doivent te prendre comme modèle », s’est-il réjoui.
« Le protecteur du citoyen est fier est conscient de ton engagement pour défendre cette cause noble », a-t-il poursuivi tout en lui annonçant, qu’avec le chapeau d’ambassadrice, elle a pour mission de conscientiser d’autres jeunes sur l’importance des droits humains qui leur sont inaliénables. Ils sont la base de la nouvelle Haïti tant souhaitée, a conclu le directeur Samuel François.